Bretagne
Les bords de mer du Finistère
- Par francal
- Le 08/08/2012
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Bordé au nord par la Manche, à l’ouest par la mer d’Iroise et au sud par l’océan Atlantique, le Finistère est tout entier soumis à l’influence de la mer.
Depuis des millions d’années, les vagues et les tempêtes façonnent ses côtes découpées, lui donnant cette beauté sauvage. Tandis que le Gulf Stream qui le caresse lui fait cadeau de sa douceur.
Du Nord au Sud, le littoral décline ses mille visages, hautes falaises, longues plages, dunes ou cordons de galets. Les abers creusent loin leurs entailles dans les terres, les ports tranquilles se dévoilent au détour de petites criques. Sans oublier les îles, mondes à part aux personnalités contrastées.
Domaine de Trévarez Finistère Bretagne
- Par francal
- Le 08/08/2012
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Site incontournable du Centre-Finistère, labellisé patrimoine du XXe, le domaine de Trévarez, construit à la fin du 19e siècle par James de Kerjégu, séduit par son château « Belle époque » de briques roses et de pierres de Kersanton. L’insolite bâtisse est alors dotée des équipements les plus novateurs de l’époque (charpente métallique, ascenseurs, électricité, chauffage, décorations Art nouveau…).
Bombardé lors de la 2nde guerre, le château, actuellement en cours de restauration, est partiellement accessible à la visite et héberge une exposition permanente retraçant l’histoire du Domaine et présentant quelques vestiges. Les majestueuses écuries, toujours intactes, sont à la mesure architecturale du château et accueillent chaque année animations et expositions temporaires.
Implantées au cœur d’un magnifique parc forestier et floral de 85 ha, labellisé Jardin Remarquable, le Domaine est réputé pour la beauté de ses collections de camélias, rhododendrons (label Collection Végétale Spécialisée) et hortensias, offrant aux visiteurs une floraison étalée au rythme des saisons. Cette année le Domaine de Trévarez vous invite à découvrir les sculptures végétales de Patrick Dougherty : des œuvres d'une grande originalité dont une conçue avec et pour le Domaine de Trévarez.
L’histoire du domaine de Trévarez est marquée par l’empreinte d’un homme : James de Kerjégu. Ce riche politicien décide, il y a plus d’un siècle, d’édifier le fameux château rose, au flanc des Montagnes Noires, en centre Finistère. Il fait ainsi basculer le vieux domaine de Trévarez, constitué dès le Moyen Âge, dans la modernité trépidante de la Belle Époque. |
Le domaine aujourd’hui |
Au gré de leur promenade, les visiteurs découvrent le château partiellement ouvert à la visite et profitent du parc de 85 hectares. Les jardins conçus pour James de Kerjégu ont, pour la plupart, été réhabilités ou recréés : le jardin régulier, le jardin d’inspiration italienne et son bassin, le jardin pittoresque animé de cascades… Le parc à l’anglaise a acquis une nouvelle dimension grâce à la constitution de collections végétales qui font la réputation de Trévarez : rhododendrons (référencés « collection nationale » par le Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées), camélias, hortensias… Tout au long de l’année, divers événements animent la vie de Trévarez : festivals des plantes, expositions artistiques ou thématiques d’envergure. HistoriqueSurnommé le « château rose » (ou le « château rouge »), c'est l'un des derniers châteaux construits en France. Il fut édifié sur le flanc nord du Roc'h An Aotroù dans les montagnes Noires en 1907 par l'architecte Walter-André Destailleur à la demande de James de Kerjégu, président du conseil général du Finistère. Celui-ci décida d'inclure dans son projet toutes les améliorations techniques de son temps : chauffage central, eau chaude à tous les étages, toilettes modernes, ascenseur, etc. Profondément humaniste, James de Kerjégu fit profiter de ce confort inhabituel pour l'époque aux domestiques du château. Il mourut peu après l'achèvement des travaux, et ce fut sa fille, Françoise accompagnée de son mari, le marquis de La Ferronays, qui logea au château. En 1941, le château fut réquisitionné par les forces d'occupation allemandes. Il fut bombardé par la RAF le 30 juillet 1944 sur des renseignements de la résistance française. Abandonné depuis, il fut vendu en 1968 au conseil général du Finistère qui le restaure progressivement et entretient le parc alentour. Le domaine de 85 hectares est labellisé « Jardin remarquable »3. Parc et jardinsCet ensemble comprend le parc paysager et les jardins ainsi que leurs fabriques : le bassin de la Chasse du jardin Renaissance, les deux vasques et le cadran solaire du jardin régulier, les deux statues des enfants maîtres-chiens, les grilles et les piliers des portails d'accès. Il comprend aussi la fontaine du Lion et la fontaine Saint-Hubert, la terrasse sud, les anciens jardins en terrasses, la maison du jardinier, la serre attenante, le verger et le potager et leurs serres avec leurs murs de clôture et le bassin central du potager, la cressonnière, le vivier, l'étang, ainsi que les infrastructures hydrauliques (le réservoir, les canalisations, les vannes)2. Ce parc, en tant que jardin mixte, est un jardin remarquable3,4. Il s'agit à l'origine d'un vaste parc à l'anglaise de 85 Ha, planté de nombreux arbustes ornementaux (par exemple on y trouve encore aujourd'hui 160 camellias centenaires), au sein duquel se nichent plusieurs jardins : la carrière romantique, le "jardin japonais", le jardin italien, le jardin régulier… Mais ce sont surtout les vastes points de vue vers et depuis le château qui caractérisent l'architecture du parc originel. A l'abandon de 1939 à 1968, le parc a été continuellement réaménagé de 1968 à nos jours, en particulier près l'ouragan dévastateur de 1987. Depuis cette date il est organisé en quadrants, correspondants aux quatre saisons, avec un genre emblématique pour chacune d'elles : le Camellia pour l'hiver, le Rhododendron pour le printemps, l'Hydrangea pour l'été, et les érables à l'automne. Il abrite aujourd'hui la Collection Nationale du genre Rhododendron, avec environ 700 variétés, ainsi que de vastes collections de plantes de terre de bruyère (Camellia, Hydrangea, Fuchsia, érables japonais, chênes, etc.). |
Belle île en mer Morbihan Bretagne
- Par francal
- Le 08/08/2012
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Belle-Île-en-Mer est une île française de l’océan Atlantique située dans le département du Morbihan en Bretagne sud. Les habitants de l’île se nomment les Bellilois et les Belliloises.
Histoire
Préhistoire
La trace de la présence de l’homme au Paléolithique moyen a été révélée par la découverte d’un biface mousterien à Kergoyet en 1991.
Belle-Île a été définitivement séparée du continent, vers - 7000, lors de la transgression « flandrienne ».
La permanence de son occupation, est attestée dès le Mésolithique par de nombreuses découvertes de mobilier, outils, armes et bijoux conservés au musée archéologique de la Société polymathique du Morbihan, à Vannes et au Musée de Préhistoire de Carnac6. Des sites d’habitat du Néolithique ont été mis au jour à Kerdonis, au Skeul, Kerzo et Deuborh.
Dans les tourbières de Ster Vraz (Sauzon), un crâne humain datant du Néolithique fut découvert au début du XIXe siècle par le botaniste Émile Gadeceau : il est conservé au musée Dobrée à Nantes.
Mégalithes, tumulus et tombeaux
Sur la série de menhirs qui formaient un alignement unique traversant l’île dans sa longueur et dont la présence est attestée en 17017, seul trois sont encore visibles (Menhirs de Kervarigeon, Jean, ci-contre, et Jeanne de Kerlédan) : les autres ont été détruits, certains découpés en pierre de taille pour le bâtiment. En 1989, MM. O. Kayser et Batt archéologues de la DRAC de Bretagne, ont mis au jour un quatrième menhir, isolé, marquant une tête de vallon au port de Borderun.
Des nombreux tumulus que l’on pouvait voir sur l’île jusqu’au milieu du XIXe siècle siècle il ne reste que le tumulus de Borderune encore visible : ceux de Kerdavid, Borvran, Kervarigeon sont très arasés. Celui de Runello, un des plus imposant de la région, a été rasé vers 1830 pour en récupérer les pierres.
À l’Âge du bronze, le nombre de sépultures (tumulus de Bordelane, Lanno) traduit une augmentation de la population ; c’est sans doute la conséquence du développement de la navigation propre à cette période : Belle-Île se trouvait en position stratégique sur les routes maritimes. Durant l’Âge du fer, sur la Côte Sauvage, plusieurs éperons barrés, déjà occupés au Néolithique, sont fortifiés. Le plus important (5 hectares), nommé localement « Le camp de César », se trouve sur la presqu’île du Vieux Château au Nord-Ouest de l’île. Plusieurs dépôts de fondeurs ont été mis au jour, dont un des plus importants d’Europe, conservé au musée de préhistoire à Carnac6.
Un ensemble de tombelles, visible dans les landes de Bordelane, est estimé de la période de la civilisation des champs d’urnes (Bronze final, début Âge du Fer soit vers le Xee siècle av. J.-C.).
Antiquité
À l’époque celte, elle est la plus grande et la plus au large des 365 îles (dit la légende) de l’archipel du Morbihan (petite mer) où prospère le peuple navigateur des Vénètes. Les traces encore visibles d’éperons barrés (opidium) ayant servi de camps aux armées vénètes démontre l’intérêt stratégique que Belle-Île pouvait alors représenter.
On y a découvert des monnaies (statères Vénètes) et des tuiles datant de l’époque gallo-romaine. À la chute de l’Empire romain commence, comme en Bretagne, la colonisation par les bretons venus d’Outre-Manche.
La colonisation monastique
Au IXe siècle, Belle-Île appartient au comte de Cornouaille (en Bretagne). Au centre de l’île, à l’emplacement de l’actuelle commune de Bangor, une communauté monastique probablement crée par des moines provenant de l’abbaye galloise de (en) Bangor (Flintshire, Pays de Galles) y est établie depuis le VIe siècle. Le comte de Cornouaille, pour relever l’île dévastée par les invasions des Vikings qui en ont chassé la totalité de ses habitants, la confie aux Bénédictins de Redon : ils y établissent un prieuré au même lieu que leur prédécesseurs gallois (Le lieu est occupé aujourd’hui par le camping municipal de Bangor). Les moines mettent en œuvre à Gwedel un programme rationnel de colonisation et de mise en valeur : l’île est divisée en quatre paroisses, et leurs territoires allotis en propriétés d’un peu plus de vingt hectares qui sont attribués à une famille et dont les contours resteront stables jusqu’au XVIIIe siècle, formant plus de 150 villages disséminés.
L’île change à nouveau de tutelle en 1029 : le comte de Cornouaille Alain Canhiart confie l’île à l’Abbaye Sainte-Croix de Quimperlé, qu’il vient de fonder. Domaine appartenant à un ordre relevant du Pape, Belle Isle se trouvait juridiquement donc dépendre ni l’évêché de Vannes ni du duché de Bretagne mais directement de la Curie romaine par une sorte d’extra territorialité insulaire. La gestion de l’île est déléguée à un prévôt qui dispose du pouvoir spirituel et temporel (droit de basse, moyenne et haute justice qui s’exerce tantôt à Belle-Île tantôt à Quimperlé). En 1408, la justice n’est plus exercée qu’à Quimperlé ; deux officiers sont désignés par l’abbé de Quimperlé : l’ « official » gère le spirituel et le « commandant » a en charge le temporel de l’île ainsi que la défense des côtes.
L’île est constamment la cible, à cette époque, de pirates des régions voisines (Saintonge, Charente) ou de pays plus lointains (Hollande, Angleterre), et les moines qui ont construit une première citadelle à Palais, s’avèrent incapables de repousser ces pillages. Cependant, le principal intérêt de Belle-Île pour les pirates et les flottes ennemies du royaume est d’ordre purement stratégique : Belle-Île est une des rares îles du littoral atlantique français permettant aux navires ennemis de s’avitailler aisément en eau potable. Ceux-ci évitent ainsi un débarquement, toujours risqué, sur le continent. Cet intérêt hautement stratégique n’échappe pas à Vauban qui, au XVIIe siècle, fait construire spécialement une aiguade en bordure de mer, au pied de la citadelle du Palais. Il s’agit d’un poste d’avitaillement en eau potable, équipé d’un réservoir captant des eaux de source, ainsi que d’un quai d’accostage pour les citernes flottantes chargées du transport de l’eau vers les bateaux au mouillage dans la rade. L’eau en y était ensuite pompée pour remplir les pièces à eau rangées dans les cales des navires8.
Le Marquisat
En 1548, le roi Henri II décide d’entreprendre sa fortification et sa mise en défense. Il faut transporter sur l’île des pierres de granit venant d’Auray et malgré les injonctions royales, les fortifications avancent lentement. Les moines opposent l’insuffisance des richesses de l’île pour financer des travaux aussi importants.
Belle-Île est encore pillée, cette fois par les Espagnols en 1567.
En 1573, durant les Guerres de Religion, l’île est occupée par Gabriel de Montgomery, chef militaire protestant. Réfugié en Angleterre, il vient soutenir Coligny. La garnison de Montgomery est chassée par une escadre armée par Albert de Gondi, duc consort de Retz. Belle-Île est alors érigée en marquisat en 1573 et concédée par le roi à ce riche gentilhomme venu d’Italie guerroyer pour le Roi et favorisé par Catherine de Médicis.
Belle-Île est désormais le siège d’une sénéchaussée. Les Gondi commencent la réédification d’une forteresse à Palais et de différents ouvrages de guet sur les côtes. L’île connaît une certaine tranquillité et une certaine prospérité grâce à ce chantier. Mais les finances des Gondi qui ont de lourdes charges, ne suffisent plus.
Son petit neveu et héritier, Paul de Gondi, cardinal de Retz, frondeur persécuté par Louis XIV et Mazarin, vint se réfugier à Belle Isle au cours de l’été 1654 après son évasion de la prison de Nantes. Au cours de la rocambolesque cavalcade qui s’ensuivit, il dut se résoudre, en 1658, à vendre l’île pour un million quatre cent mille livres à Nicolas Fouquet, armateur issu d’une très riche famille alliée des principaux parlementaires bretons et devenu surintendant des finances en 1653. Fouquet acheva les fortifications et construisit une jetée et des entrepôts. Belle Isle devient alors pour quelques années, avec une dizaine de navires, le principal centre d’armement du commerce avec l’Espagne et les Indes. En 1660, Fouquet achète la charge de Vice Roi des Amériques et promet un développement avec le Nouveau Monde par ses participations aux compagnies maritimes, notamment dans le commerce des peaux de Nouvelle France.
L’île abrite alors deux cents hommes au service de l’entreprise de Fouquet9 mais celui-ci est arrêté le 15 septembre 1661 par un complot préparé par Colbert avec l’aide de son cousin Colbert du Terron venu enquêter sur place. Le projet d’extension du port est stoppé. L’île fut confisquée, comme toutes les libertés bretonnes le seront, par Louis XIV venu à Nantes et le commerce maritime ruiné, comme à peu près le royaume dans son entier, par les guerres du Grand Roi avec les autres nations. Au terme d’un interminable procès qui fit scandale tant la procédure fut dévoyée, Fouquet est condamné en 1664 au bannissement hors du royaume et à la confiscation de ses biens, peine commuée par le Roi en détention à perpétuité. À la mort du ministre déchu, en 1680, sa veuve et ses enfants désargentés conservent naturellement la seigneurie, mais Louis XIV s’arroge le droit de mettre l’île en défense, laquelle sera assurée directement. Il s’agit d’une expropriation de fait par l’armée.
Toutes les compétences ayant été étouffées par la monarchie absolue, la ferme du tabac étant même confiée à une favorite, le commerce triangulaire avec les plantations de Saint-Domingue fut un échec jusqu’à ce que la Régence restaure un peu de liberté et qu’une reprise commerciale soit tentée en 1720. Si les bourgeois de Saint-Malo, Lorient, Nantes, La Rochelle, Bordeaux et Bayonne profiteront de ce regain, la prospérité, faute de nouvel investisseur sérieux, ne reviendra jamais à Belle Isle réduite à un rôle militaire, d’autant que c’est la ville nouvelle de Lorient que Colbert choisit pour l’implantation de la Compagnie française des Indes orientales.
Culture et patrimoine en Finistère
- Par francal
- Le 02/08/2012
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- Par francal
- Le 02/08/2012
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