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Rhône-Alpes

Maison des Canuts Lyons Rhône-Alpes

La maison des Canuts est un musée situé à Lyon, dans le département du Rhône, en Rhône-Alpes. Il présente des collections relatives aux Canuts, en particulier des métiers à tisser toujours fonctionnels et utilisés au cours des visites.

Une boutique vendant des produits liés à la soie est implantée dans la maison.

Histoire

Les artisans tisseurs Lyonnais fondent en 1960 une coopérative nommée Cooptiss1. En 1970, Cooptiss créé la maison des Canuts, lieu de promotion de la soie à Lyon1. En 1998, Cooptiss dépose le bilan, suivie en 2003 par la maison des Canuts1 ; un partenariat public/privé reprendra alors la gestion de la maison, la collection appartenant à la ville de Lyon, les murs appartenant à la Société anonyme de construction de la Ville de Lyon (SACVL) et la gestion elle-même du lieu étant assurée par une société privée1.

Fichier:La Maison des Canuts Panneau.JPG

Basilique Notre-Dame de Fourvière Lyons Rhône-alpes

La basilique de Notre-Dame de Fourvière domine la ville de Lyon depuis le sommet de la colline de Fourvière, sur l'emplacement de l'ancien Forum de Trajan (Forum vetus, d'où le nom de Fourvière). Son architecture de style néo-byzantin ou romano-byzantin est l'œuvre de Pierre Bossan. Constituant un des repères les plus visibles de l'agglomération au même titre que la tour Part-Dieu, la Basilique Notre-Dame de Fourvière est un des symboles de la ville de Lyon. Elle donne à Lyon son statut de ville mariale.

Fichier:Lyon - Basilika Notre-Dame de Fourvière at night.jpg

Historique

En 1168, une chapelle fut construite à Fourvière par Olivier de Chavannes, chanoine de Saint-Jean, sur les ruines du forum romain. La petite chapelle, dédiée tout d'abord à saint Thomas puis à la Vierge, a connu des destructions et des reconstructions.

Les pèlerins venant de plus en plus nombreux à Fourvière, le projet d’agrandissement du sanctuaire prend corps. Pour acheter les terrains nécessaires, le cardinal de Bonald crée le 7 mars 1853 la Commission de Fourvière. Cependant, ce n’est qu’en 1866 que la Commission et les autorités ecclésiastiques s’accordent sur un projet non pas d’agrandissement, mais de construction, d’une nouvelle église. Les plans existent dans les cartons de Pierre Bossan, architecte diocésain qui succède à Duboys.

Cependant, le 19 juillet 1870, la guerre éclate entre la France et la Prusse. Les Lyonnais, inquiets, demandent à Monseigneur Ginoulhiac d’exprimer un vœu à Notre-Dame de Fourvière pour éviter l’occupation de la ville. Si ce vœu est exaucé, ils s’engagent à construire à Fourvière une église dédiée à la Vierge. L’archevêque formule solennellement ce vœu le 8 octobre 1870. Lyon est épargnée.

La première pierre est donc déposée le 7 décembre 1872 et la dernière, le 2 juin 1884. La construction est poursuivie par l'architecte Sainte-Marie Perrin, après la maladie de Bossan. Il fallut donc douze ans pour réaliser le gros œuvre de la basilique. Cependant, il faudra attendre 1964 pour que l'intérieur de la basilique soit achevé, avec ses mosaïques, ses sculptures et ses vitraux. En 1897, la nouvelle église est érigée en basilique par un bref du Pape Léon XIII.

Le site accueille depuis 1982 les antennes de Radio Fourvière, devenue depuis RCF Lyon.

La basilique appartient au périmètre du Vieux Lyon inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 19981.

Depuis 2008 et jusqu'en 2012, des travaux de restauration sont en cours pour conserver ce patrimoine, premier site touristique de Rhône-Alpes.

Fichier:Basilique de Fourvière from Saone (Lyon).jpg

Les trois vœux à Notre-Dame de Fourvière

Le vœu d'Anne d'Autriche 

En 1630, Anne d’Autriche, reine de France, épouse de Louis XIII, monta à Fourvière pour prier Notre Dame, lui demandant de donner enfin un héritier au trône. Huit ans plus tard, en février 1638, le roi Louis XIII consacra le royaume de France à la Vierge. Louis XIV naquit le 5 septembre 1638.

Le vœu des Échevins 

Des épidémies de peste se déclaraient périodiquement dans la ville (8 en 70 ans) et décimaient la population. Le 8 septembre 1643, le Prévost des marchands ainsi que ses échevins décidèrent de mettre la population sous la protection de Notre Dame de Fourvière. Ils offrirent durant l’office un cierge de sept livres et un écu d’or et promirent de renouveler cette cérémonie si la peste cessait. Vingt jours après, l’épidémie était terminée et Lyon ne connu plus jamais d’épisode de peste. Ce pèlerinage a toujours lieu le 8 septembre à Fourvière.

Le voeu des échevins a permis de doter l'ancienne chapelle d'un magnifique vitrail de Lucien Bégule en 18822.

Le vœu de 1870 

Voir historique

Fichier:Lyon-Basilique-de-Fourvières.jpg

La tradition des illuminations du 8 décembre

En 1851 devant la vétusté du clocher, le cardinal de Bonald autorisa son remplacement par un nouveau clocher qui serait surmonté d’une statue monumentale en bronze doré. La construction du clocher fut confiée à Duboys, architecte diocésain et la réalisation de la statue à Joseph-Hugues Fabisch qui sculpta plus tard la Vierge de Lourdes.

L’inauguration devait avoir lieu le 8 septembre 1852, fête de la Nativité de la Vierge, mais fut reportée au 8 décembre, fête de l'Immaculée Conception, par suite de l’inondation des ateliers où était fondue la statue, et la date fut donc choisie aussi par piété mariale. Ce 8 décembre, un orage empêcha l’illumination du nouveau clocher. À la faveur d’une accalmie, les Lyonnais illuminèrent leurs fenêtres en l’honneur de la Vierge Marie. Ce fut le début de la tradition des illuminations du 8 décembre à Lyon, en l'honneur de la Vierge.

Place des Terreaux Lyon Rhône-Alpes

La place des Terreaux est une place située dans le 1er arrondissement de Lyon, sur la presqu'île entre le Rhône et la Saône, au pied de la colline de la Croix-Rousse.

La place des Terreaux est bordée :

Fichier:Place des Terreaux - 2.JPG

Histoire

La muraille d’avant la place

En 1206, les associations de marchands lyonnais se heurtent à l’archevêque Renaud II de Forez qui ne respecte pas la charte signée en 1195 en violant les accords pris en matière de taxe sur les marchandises. Pour protéger le bourg Saint-Nizier du pouvoir ecclésiastique, les bourgeois lyonnais décident alors d'élever une muraille au pied de la colline Saint-Sébastien (Pente de la Croix-Rousse) et une tour sur la Saône afin de contrôler le pont du Change, unique passage entre Saint-Nizier et Saint-Jean. L'archevêque intervient par les armes en 1208 et la paix revient grâce à l'intervention du pape Innocent III.

Renaud de Forez et ses successeurs reprennent toutefois les travaux entrepris par les bourgeois lyonnais, afin de protéger la ville d'une potentielle attaque par la Dombes. Un nouveau mur, épais de deux mètres et haut de dix mètres, est bâti entre la Saône et le Rhône. Long de 500 mètres environ, cette enceinte est percée de deux portes défendues par des pont-levis (la Porte de la Pêcherie sur la Saône et la porte de la Lanterne) et protégée par dix tours rondes ou carrées. Un chemin de ronde crénelé et cinq guérites de pierre permettent aux soldats de faire le guet à son sommet. La muraille principale est séparée par un large fossé de 22 mètres d'un autre mur de deux mètres de haut implanté plus au nord. Au XIVe siècle, un troisième ouvrage construit dans la pente est venu compléter ce dispositif qui fut lui-même adjoint au début du XVe siècle d'un nouvel ouvrage bâti au sommet de la colline Saint-Sébastien et constitué d'une butte de terre protégée par des tours de bois1. En cas de siège, le fossé, qui prend le nom de Terralia nova (Fossés des Terreaux) ou de Fossés de la Lanterne, peut être rempli d'eau. Celle-ci pénètre en cas de besoin dans une succession de bassins, appelée canal de Neyron, creusés latéralement au Rhône, et s'écouler jusqu'à la Saône située en contrebas.

En temps normal, les arbalétriers, puis les couleuvriniers utilisent les fossés comme lieu d'entraînement, d'abord côté Saône, puis à partir de 1533 côté Rhône.

Fichier:Bartholdi Fontaine des Terreaux Lyon original.jpg

Les jardins et la place

Au XVIe siècle, les murailles tombent en ruine. En 1538, la démolition de l'enceinte est entamée. Le fossé côté Saône est comblé afin de construire la boucherie de la Lanterne. En 1555, les religieuses du couvent Saint-Pierre reçoivent l'autorisation d'utiliser les pierres du mur "en telle quantité qu'il leur plairait pour les réparations du monastère". En 1578, les terrains de l'actuelle place des Terreaux sont remblayés et en 1617, l'ancien fossé disparait définitivement avec l'aménagement des jardins de l'hôtel de ville sur lesquels s'élèvent aujourd'hui l'Opéra.

Entre 1646 et 1651, Simon Maupin bâtit sur la partie orientale de la place l'Hôtel de ville de Lyon, reconstruit par Jules Hardouin-Mansart, suite à l'incendie de 1674. Au XVIIe siècle également, les moniales de Saint-Pierre font reconstruire leur couvent qui devient en 1803 le musée des Beaux-Arts de Lyon.

Sur cette place fut décapité le marquis de Cinq-Mars, conspirateur contre Richelieu. Il est dès lors dans la coutume locale de ne pas traverser la place par son centre, où aurait eu lieu l'exécution.[réf. nécessaire] Pendant la Révolution française, la guillotine y est installée et fonctionne à plein régime pendant le mandat de Marie Joseph Chalier. L'exécution de ce dernier sur la place marque le soulèvement de Lyon contre la Convention nationale. Après le siège de la ville, la "Commission de justice populaire" y fait décapiter 79 personnes, la deuxième vague de répression ayant lieu dans la plaine des Brotteaux.

Dans la deuxième partie du XIXe siècle, les accès à la place sont élargis afin de les intégrer au plan de restructuration de la Presqu'île mené par le Préfet Vaïsse. En 1855, le passage des Terreaux est ouvert entre la place et la rue Lanterne. Le préfet envisage également de percer une nouvelle rue au nord dans l'axe du palais Saint-Pierre, mais ce projet n'a jamais été réalisé.

Au centre de la place, face à l'hôtel de ville, les édiles inaugurent le 22 septembre 1891[réf. nécessaire] une fontaine allégorique de la Garonne réalisée par Bartholdi. Commandé dans un premier temps par le conseil municipal de Bordeaux en 1857[réf. nécessaire], le groupe sculpté dénommé « Char triomphal de la Garonne » représentait la Garonne et ses 4 affluents se jetant dans l'océan ; le tout étant symbolisé par une femme menant un Quadrige. À la suite de l'Exposition Universelle de 1889, le monument, devenu trop cher pour Bordeaux, fut racheté en 1890 par le maire de Lyon, Antoine Gailleton.

Fichier:Façade de l'Hôtel de Ville de Lyon.JPG

La place a été réaménagée en 1994 par Christian Drevet (architecte-urbaniste) et Daniel Buren (artiste), avec notamment une alternance orthogonale de 69 jets d'eau bordés de 14 piliers. Cette trame de la place est rythmée par la façade du palais Saint-Pierre. Afin de construire le parc de stationnement souterrain des Terreaux, la fontaine, initialement située en face de l'hôtel de ville, a alors été déplacée à son emplacement actuel dans l'axe du palais Saint-Pierre. Le 29 septembre 1995, elle est classée monument historique2. Suite à la diffusion de cartes postales de la place qui reproduisaient en partie l'œuvre de Buren et Drevet, ces derniers ont intenté une action en contrefaçon contre les éditeurs des cartes. En se fondant sur la théorie de l'accessoire, la Cour de cassation constate que l’œuvre de Buren et de Drevet ne constitue qu'un "simple élément" de la place. Par conséquent, elle ne constitue pas le sujet principal des prises de vue, mais simplement un "accessoire du sujet traité". Ainsi, les photographes ont pu librement commercialiser les photographies de la place des Terreaux sans que cela constitue une "communication" de l’œuvre litigieuse au public3

Beaujolais Rhône Rhône-Alpes

Le Beaujolais est une région géographique située au nord de Lyon en France, qui s'étend dans le nord du département du Rhône et dans le sud de la Saône-et-Loire. C'est une ancienne province française dont la capitale historique est Beaujeu, dont elle tire son nom, et la capitale actuelle est Villefranche-sur-Saône (chef-lieu d'arrondissement du Rhône).

Le Beaujolais est un ensemble collinaire situé au nord-est du Massif central, bordé à l'est par la vallée de la Saône et à l'ouest par la vallée de la Loire. Les monts du Beaujolais, comme on appelle parfois cet ensemble, sont contigus au nord aux monts du Mâconnais, et au-delà au Morvan, et au sud aux monts du Lyonnais, et au-delà au massif du Mont Pilat. La plus grande partie du Beaujolais, et la majorité de sa population, se situent sur le versant est du massif.

Point culminant

Le point culminant des monts du Beaujolais est le mont Saint-Rigaud qui culmine à 1 009 m d'altitude. Le sommet est accompagné par la roche d'Ajoux à 970 mètres et le mont Tourvéon à 949 mètres.

Hydrographie

  • La Saône longe le Beaujolais du nord (Mâcon) au sud (Anse), du côté est.
  • L'Ardières, d'orientation ouest→est, arrose Beaujeu et se jette dans la Saône à Belleville-sur-Saône
  • L'Azergues descend du col des Écharmeaux en direction du sud puis contourne la pointe sud-est du massif pour se jeter dans la Saône à Anse.
  • La Turdine, au sud-ouest du Beaujolais, se jette à l'Arbresle dans la Brévenne, affluent de l'Azergues.
  • Le Rhins quitte les monts du Beaujolais vers l'ouest et se jette dans la Loire à Roanne.

Climat

Le massif a un climat océanique à influences montagnardes.

Fichier:Brouilly.JPG

Le mont Brouilly, vu de Quincié-en-Beaujolais (vue aérienne)
Fichier:Mont Chatard.jpg
Vue du côté nord du mont Chatard
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Le X131 sur les rails du Chemin de fer Touristique d'Anse, au pied du Beaujolais

Histoire

En 1898, Claudius Savoye, instituteur en Beaujolais, écrit un ouvrage qui fait référence sur le Beaujolais préhistorique.

Le Beaujolais fut d'abord une baronnie qui était possédée au IXe siècle par Guillaume, comte du Lyonnais et du Forez, mort en 900. À sa mort, la baronnie échut à son fils Bérard qui le premier porta le titre de sire de Beaujeu. Cette première maison s'éteignit en 1265, en la personne de Guichard V.

Isabeau, son héritière, épousa Renaud, comte du Forez, qui devint chef d'une nouvelle maison de sires de Beaujeu, parmi lesquels on remarque Édouard Ier, maréchal de France. La baronnie de Beaujeu passa, vers 1400, dans la maison de Bourbon, par la cession qu'en fit Édouard II à Louis II de Bourbon, son oncle. Un des descendants de celui-ci, Pierre II de Bourbon, sire de Beaujeu, épousa Anne de France, fille de Louis XI, connue sous le nom de Dame de Beaujeu.

En 1522, le Beaujolais, confisqué au connétable de Bourbon, fut donné à Louise de Savoie, mère de François Ier. Réuni à la couronne en 1531, il fut rendu en 1560 par François II, à Louis III de Montpensier, héritier du Connétable. Marie de Montpensier le porta en dot, en 1626 à Gaston d'Orléans, dont la fille, la célèbre Grande Mademoiselle, le légua à Philippe d'Orléans, frère de Louis XIV.

Le Beaujolais, érigé en comté, resta depuis dans la maison d'Orléans. Le dernier prince qui ait porté le titre de comte du Beaujolais fut Louis Charles d'Orléans, le troisième frère du roi Louis-Philippe Ier, né à Paris en 1779 et mort à Malte en 1808.

Activité

Viticulture

Article connexe : Vignoble du Beaujolais.

C'est aussi une région viticole, connue pour ses vins typiques, vins rouges issus à 99 % du cépage Gamay.

Le Beaujolais comprend trois zones géographiques bien différenciées :

  • le val de Saône, où passent d'importantes voies de communication (route, autoroute, voie ferrées, Saône canalisée), et où se trouvent des activités industrielles diversifiées ;
  • les coteaux du Beaujolais, qui portent le vignoble ;
  • le Beaujolais Vert : une activité agricole dominée par l'élevage, une filière sylvicole porteuse d'une identité naturelle et économique forte, une économie traditionnelle en phase de diversification (depuis le textile vers la métallurgie, le plastique et l'agroalimentaire), une activité touristique en fort développement.

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Vignoble du Beaujolais en automne.

La production moyenne s'élève à 1,1 million d'hectolitres par campagne réparti en douze AOC : Beaujolais, Beaujolais Villages, et dix crus (Morgon, Régnié, Moulin à Vent, Côte de Brouilly, Brouilly, Juliénas, Saint-Amour, Chénas, Chiroubles et Fleurie). Seules les appellations génériques (les deux premières) peuvent prétendre à une commercialisation en primeur. Celui-là même qui est attendu dans le monde entier chaque année le troisième jeudi de novembre lors de la traditionnelle dégustation du « Beaujolais nouveau »1.

Sylviculture

Les hauteurs du Beaujolais ont de nombreuses parcelles composées de conifères.

Textile

De nombreuses usines de tissage sont présentes dans la région.

Pays des Pierres Dorées Rhône Rhône-Alpes

Les pierres dorées sont des calcaires très largement exploités pour la construction dans une zone au nord-ouest de Lyon (France) appelée « Pays des Pierres Dorées », mais aussi dans les Monts d'Or et dans le Beaujolais.

Il s'agit d'un calcaire à entroques de l'aalénien teinté par des oxydes de fer. Les entroques, débris de crinoïdes, présentent des facettes qui réfléchissent la lumière.

Il rassemble une quarantaine de communes françaises. Dans chaque village, une carrière de pierres permettait de répondre aux besoins de construction locale. Avant 1914, certaines étaient si actives qu'elles fournissaient non seulement le Beaujolais, mais aussi le Lyonnais et jusqu'à la Suisse.

Aujourd'hui, toutes les carrières sont abandonnées Jarnioux, Ville-sur-Jarnioux Marcy... Celle de Saint-Jean-des-Vignes a donné naissance au site de Pierres Folles, espace de découverte géologique et œnologique ouvert toute l'année au public. Une carrière a été ré ouverte en 2008 à Theizé en Chassagne Fabrice MOLINA Maitre carrier et tailleur à Pouilly le Monial. La Société Lafarge exploite ce calcaire à Belmont-Charnay-St Jean des Vignes pour la fabrication du ciment.

Fichier:OINGT Rue Trayne Cul.JPG

Liste des communes du pays des Pierres Dorées

(entre parenthèses, site remarquable)

  • Alix
  • Ambérieux d'Azergues
  • Anse
  • Bagnols (Château)
  • Belmont-d'Azergues
  • Le Bois-d'Oingt
  • Le Breuil
  • Chamelet
  • Charnay
  • Châtillon
  • Chazay d'Azergues
  • Chessy-les-Mines
  • Cogny
  • Curis-au-Mont-d'Or
  • Denicé
  • Frontenas
  • Jarnioux
  • Lacenas
  • Lachassagne
  • Légny
  • Létra
  • Liergues
  • Lozanne
  • Lucenay
  • Marcy
  • Moiré
  • Montmelas-Saint-Sorlin (Château médiéval)
  • Morancé
  • Oingt (Bourg)
  • Pommiers
  • Pouilly-le-Monial
  • Rivolet
  • Saint-Cyr-le-Chatoux
  • Saint-Germain-sur-l'Arbresle
  • Saint-Jean-des-Vignes
  • Saint-Laurent-d'Oingt
  • Sainte-Paule
  • Saint-Vérand
  • Ternand
  • Theizé
  • Ville-sur-Jarnioux (circuit des cadoles de Collonge)